« Marianna Kowalska avait peur de l’accouchement qui approchait. En effet, lors des deux derniers, elle avait Presque faille mourir. Le 25 août 1905, à huit heures du matin, ell emit au monde sa troisième fille – Helena. Tout se passa très vite et sans complications. On ne sait pas qui a assisté à cette délivrqance: peut-être une voisine de Głogowiec, expérimentée dans les accouchements, ou sa belle-mère qui pouvait arriver de Dąbie, une petite ville situénon loin. Comme tous les jours, son mari Stanisław avait conduit les vaches au pré derrière la maison et il avait donné à manger aux animaux dans l’étable. Il n’avait plus de travail urgent dans les champs. La moisson avait été faite et les pommes de terre attendaient d’être ramassées. Peut- être était-il occupé avec ses deux filles: Józefa qui avait 3 ans et Ewa qui avait 2 ans et qu’on appelait Gienia à la maison. Peut- être était-il allé travailler dans son petit atelier de menuiserie près de l’étable, à l’endroit où il stockait du bois. La journée s’annonçait chaude et ensoleillée. À Varsovie, à quatre heures du matin, les thermomètres indiquaient 15 degrés Celsius. »
C’est une citation tirée du livre: Ewa K. Czaczkowska, Soeur Faustine. Biographie d’une sainte 1905 – 1938, éd. SALVATOR, 2014, 103, rue Notre-Dame-des-Champs F-75006Paris, (traduit du polonaise par Sebastian Piotrowski), page 23.









